L'Oblivious, péripéties désastreuses

«Où. Est. Nekiyu ? " J'ai grogné, l'équipage arma en réponse armes épées et bâtons d'un air menaçant. Ma main se serra sur le col de chemise de l'homme. L'homme était le capitaine du navire nous venions coulé, et il pourrait être mon seul lien avec NeKiyu. "Je ne sais pas ! Seul Vysathyr Vargas sait ! " Il gigotait. Il cria de douleur. Il avait des brûlures et des coupures sur tout le corps. « Où est ce Vargas ?! " Ma voix grondante semblait réveiller ces blessures. Il siffla la douleur... Sa respirations devenait plus laborieuse. Il ne va pas durer beaucoup plus longtemps, ais-je pensé. "Je ne sais pas." Il sifflait. J'ai grogné dans la frustration, lui assénant un coup de fourreau sur un bleue. Pas une fin sacrément glorieuse pour un "capitaine". "Mais," il a le souffle coupé. Je me rapprochais tout en maintenant mon emprise. "Quoi ?!" "Allez à Berdymov. Il soupira et cessa de respirer. J'ai doucement lâcher son col, le déposant au sol...

J'ai soupiré et a arraché le cache-oeil . "Merde". Murmurai-je. "Que faire maintenant " J'ai regardé le propriétaire de la voix. Blayr inconfortablement installé sur un tonneau pendant qu'il attendait une réponse. Le reste de l'équipage a commencé à remuer dans l'anticipation. J'ai regardé le reste des hommes, puis mon second. Fursey haussa les épaules. Xaleph hocha la tête. J'ai hoché la tête en arrière et dit: «Nous allons à Berdymov ! Maintenant bougez-vous les chiens de l'Astral !" J'ai crié. "Aye aye Capt ! " puis les hommes crièrent la même phrase à l'unisson. J'ai fais signe à deux hommes d'envelopper le corps et de le jeter dans l'Astral, l'avantage c'est que c'est propre. J'ai soupiré et essuyé mon visage avec mes mains.

"Donc, nous allons, après un homme nommé Wtylokv, afin que nous puissions trouver un homme nommé Vargas ?" Fursey prononça ces mots tout en marchant à côté de moi. "Il ne me dit rien de bon cet allods pour moi mon ami." Xaleph dit alors qu'il marchait sur mon autre côté. J'ai haussé les épaules. «Que devons-nous faire ?" Fursey a frotté le dos de sa tête. "Je pense que nous avons rien à perdre." Blayr grommela quelque chose. J'agitais mon cache-oeil et il retoura sur le radar afin de donner les directions à Fursey.

L'Oblivious et son équipage se dirigeaient vers Berdymov...

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(Plus beau, plus long, une mise en page et moins de fautes. Que demande de plus le peuple hormis une image allant avec ?)

Je marchais dans le couloir et j'ai mis ma main sur la poignée de la porte menant à ma cabine. "Nous avons verrouillé pour éviter sa fuite Cap ! Me chuchota Blayr. J'ai soupiré et déverrouillé. J'ai tenu mon épée dans ma main gauche et j'ai ouvert la porte. Et...effectivement j'avais bien fais ! J'eus à peine le temps de dévier une dague lancée dans ma direction. Je l'ai bloqué facilement. J'ai juste été un peu surpris. Je la regardais du coin de l'oeil. Comme je le pensais, sans surprise... J'ai rengainé mon épée et fit voler aisément des siennes sa dague. Elle trébucha en arrière et me regarda. Elle prit une profonde inspiration et recula. J'ai ri et m'assis sur le coin de mon bureau . Blayr et Xaleph me suivant. Blayr a regardé la scène et agi comme si Xaleph n'était pas là.

"C'est ce qu'elle obtient de jouer avec une des plus fines lames corsaire, hein Capt ?" dit Blayr

"La ferme pour changer Blayr ! " dit Xaleph.

J'ai haussé les épaules et posa mes pieds sur le fauteuil.Honnêtement, je ne me soucie pas d'être le meilleur, à quoi bon ? J'ai feuilleté mes cartes et les lettres,Vargas semblait hors...zone connue...mais j'imagine qu'il traîne à l'auberge des marins l'ayant déjà déposés sur l'allods où il se terre. Humn je devrai creuser cette piste, un marin a tendance à vite parler lorsqu'on lui offre à boire ou avec la menace d'avoir la gorge tranchée.
En douceur je tournais ma tête vers la jeune fille. Quelle petite cachotière, n'êtes-vous pas ?" J'ai dit, en braquant mon oeil dans les siens. J'ai vu certaines parties de ces pomettes rougir. J'ai regardé les papiers, plantant la dague de la demoiselle dedans. "Damnation ! Et nous étions si près de trouver ce fils de shlag !" J'ai grogné...

Ces salauds du quai ont sans doute avertit Wtylov et il s'est sauvé à toutes jambes, comme le rat, qu'il a toujours été. Nous avions trouvé où il se terrait, mais il n'était plus là.
Xaleph de son ton si flegmatique dit : tout n'est pas perdu Capt'n.

Blayr hocha la tête puis ajouta, "Il vous a laissé un mot "déclara Xaleph De le rencontrer à une station balnéaire de l'autre côté de l'allos Capt. J'ai oublié le nom mais." Blayr soupira et dit, "Britxham, Capitaine."

J'ai hoché la tête. Puis je fis de nouveau face à la fille. Au moins j'aurai le temps de passer...un peu de temps avec Catherina.
J'ai dit: «Merci Blayr et Xaleph. Vous pouvez y aller. Et aussi dire que l'équipage a une permission de 48 heures. Je pense que vous aller rester quelques temps avec nous miss." J'ai senti un fou-rire de sympathie pour la consternation que je lisais sur son visage.

«Attendez! Je ne peux pas rentrer à la maison ?! Bandes des pirates sanguinaires ! Qu'allez-vous faire ?" Elle glapit.

Je tiens à préciser le terme de corsaire mademoiselle, quelque chose sans importance pour vous, mais non pour moi.
J'ai salué les deux frères, surpris au loin et ils sont sortis de la porte avant que la fille ne puisse s'y engouffre.

«Qui diable pensez-vous que vous êtes?!" cria-t-elle. Je me suis levé et j'ai commencé mon chemin vers la porte avant même qu'elle n'ait commencé à y courir.

Je suis arrivé avant elle et je l'ai verrouillé d'un simple geste. Elle fronça les sourcils. Elle serait vraiment jolie sans spn air renfrogné, pensais-je. Je marchais pour revenir à mon bureau et lui fit signe de s'assoeir sur une chaise dans le coin. "Prenez une chaise. Vous ne risquez pas d'aller n'importe où n'importe quand pendant un bon moment." Prononcais-je.
Je pouvais entendre la lassitude dans ma voix et elle aussi. Je me dirigeai vers la fenêtre et commencait à chercher quelque chose qui était hors de vue. Mon navire faisant une embardée provoqué par le départ des hommes et du navire.

"S'il vous plaît,» a-t-elle plaidé. Je me suis tourné et le coeur serré...Elle était à genoux, en pleurs. Je détestais vraiment voir pleurer les femmes, elles sont la pire chose au monde qu'un homme puisse voir à mes yeux.

"S'il vous plaît, j'ai une mère et une petite soeur et je ne peux pas supporter d'être loin d'eux. S'il vous plaît." a-t-elle dit en tremblant...

Que dire, vive la suite

J'y travaille activement

pas si activement que ca on dirait! allez allez au boulot! mais bon, si elle pleure et qu'il a pitié, il va être gentil hein?!

Depuis quand un corsaire c'est gentil